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Title: L’UTILISATION DU TEMPS CHEZ LES JEUNES FRANÇAIS ET CHEZ LES JEUNES VIETNAMIENS
Other Titles: CÁCH SỬ DỤNG THỜI GIAN CỦA GIỚI TRẺ PHÁP VÀ GIỚI TRẺ VIỆT NAM
Authors: Nguyễn, Vân Dung
Lê, Hoàng Hà
Keywords: Văn học
Tiếng pháp
Issue Date: 2015
Publisher: ĐHNN
Abstract: Le temps, c’est de l’argent. Le proverbe a le sens « pour faire des profits, il faut savoir bien utiliser son temps ». Donc savoir bien utiliser le temps est aussi important que gagner l’argent. Dans la vie quotidienne, on a plusieurs de choses à faire : les travaux sociétés, les tâches domestiques, les loisirs… Et est-ce qu’on a bien utilisé le temps pour toutes ces choses-là ? Ce n’est pas le problème de tel ou tel personne, c’est le problème de tout le monde. Les garçons, les filles, les enfants, les adultes… Et les jeunes ? Comment utilisent-t-ils leurs temps ? C’est un sujet qui attire mon attention beaucoup. Je sais qu’avant moi, il y a plusieurs œuvres de recherche qui traitent sur le même sujet, et les résultats sont très variés. Pourtant, je veux étudier ce sujet encore une fois pour avoir quelques autres opinions. Au cadre de ma recherche, j’ai analysé le problème sous une vue très différente, c’est le temps comme élément culturel. Pourquoi j’ai fait comme ça ? À mon avis, le temps est un bon moyen dans la communication interculturel. Les différentes personnes ont une différente habitude d’utiliser le temps.Les gens des différents pays du monde ont une différente habitude d’utiliser le temps. Et à travers les recherches sur l’utilisation du temps des jeunes de deux pays, plus précisément dans ma recherche ce sont la France et le Vietnam, avec l’objectif principal ce sont les jeunes, on peut distinguer les habitudes culturelles de chaque pays, de chaque personne. Alors c’est pourquoi « L’utilisation du temps chez les jeunes français et chez les jeunes vietnamiens » est née. Les analyses de base du théorique, les analyses des questions d’enquête, des tableaux et graphiques… vous donnent les réponses.
Description: Dans un premier temps, je voulais faire un mémoire sur la gastronomie, plus précisément sur ‘Le repas des Français et des Vietnamiens: les similitudes et les différences’. Mais je trouve que ce sujet est trop général et peut-être c’est difficile de trouver les informations pour ce faire. De plus, les recherches sur le thème de la gastronomie sont déjà utilisées par beaucoup d’autres étudiants. Donc à l’aide de Mme NguyễnVân Dung, j’ai choisi un sujet interculturel sur le temps intitulé ‘L’utilisation le temps chez les jeunes français et les jeunes vietnamiens’. C’est une recherche sur un thème très intéressant, n’ayant jamais été étudié des années précédentes... Effectivement, la vie est une suite d’actions... Quand l’une est terminée, une autre apparaît. Cela crée une suite dans le temps. Depuis la Préhistoire, l’homme a cherché à mesurer le temps. L’histoire de la mesure du temps remonte aux premières civilisations (Égypte, Chine, Maya). La mesure du temps a rapidement été une de ses préoccupations importantes, notamment pour organiser la vie sociale, religieuse et économique des sociétés. Les phénomènes périodiques du milieu où l'homme vivait - comme le déplacement quotidien de l'ombre, le retour des saisons ou le cycle lunaire - ont servi de premières références. Très vite, il a fallu inventer des unités de mesure afin de permettre aux hommes de fixer des dates et d'aboutir à plus de précisions. Les heures, les jours, les semaines, les mois, les années, les siècles, ..., servirent de références pour concevoir les calendriers. Nous disions que le temps est un peu comme l'air que l'on respire. Nous ne le découvrons que lorsqu'il change. On s'aperçoit du temps météorologique lorsqu'il est "mauvais", ou "beau" ou lorsqu'il va changer. Quand il pleut et que nous attendons le soleil, quand il fait beau et que nous espérons la pluie. De même nous ne prenons conscience que nos activités se déroulent dans le temps, que lorsque le temps est trop court: "Je n'ai pas le temps", lorsque le temps est trop long: "Le temps n'en finit pas". Autrement dit lorsqu'il y en a trop ou pas assez. Ou bien s'il y a des remous, des fractures dans le temps: le temps d'un changement d'école, d'un déménagement, d'un changement d'activité ou de l'entrée en retraite. Dès les premiers mois de notre vie, nous avons pris des habitudes, des façons personnelles de réagir par rapport au temps. Quand on est majeure, on doit travailler, on doit étudier… À côté du temps pour le travail, on doit s’amuser, on doit se reposer. C’est le temps du loisir. Temps du loisir et du travail sont dans un rapport de dépendance réciproque. La force de travail se reconstitue, en partie, dans le loisir. Mais la force de loisir aujourd'hui nécessaire a aussi des limites, et suscite un besoin de reconstitution, dans le travail. Force de travail et force de loisir se reproduisent réciproquement, que ce soit dans l'alternance de la journée, de la semaine, des petites ou des grandes vacances. Les agents sociaux l'expriment d'ailleurs banalement dans la succession des contentements : contentement de partir en vacances, par exemple, mais contentement d'en finir, ce fameux contentement de la reprise. Le loisir prend parfois des allures impériales, mais demeure dépendant, prisonnier d'une structure d'effets réciproques. Si la force de loisir n'est pas illimitée, si elle s'épuise, c'est que, s'exerçant dans un temps libéré de contraintes exogènes dont les individus ont la libre disposition, les activités de loisir sont entièrement à leur charge décisionnelle, donc psychologique : elles pèsent (Paul Yonnet (1999 : 35). Pour pouvoir mieux comprendre l’utilisation du temps des jeunes, je vais essayer de répondre aux questions suivantes : Comment les jeunes vietnamiens utilisent-ils le temps ? Comment les jeunes français utilisent-ils le temps ? Quelles sont les similitudes et les différences dans l’utilisation du temps des jeunes français et vietnamiens ? Outre l’introduction, la conclusion et les annexes, mon mémoire se compose de 2 chapitres : Chapitre 1 : Le premier chapitre s’appelle la base théorique. Dans ce chapitre, j’ai abordé les définitions de base de la culture, de l’interculturel et du temps. De plus, j’ai attaqué aussi à la définition du jeune, c’est-à-dire qu’est-ce qu’on entend par jeune ? La dernière chose dans le premier chapitre, j’ai parlé du temps contraint et du temps libre, ce sont deux temps principaux que l’homme réserve pour le travail et le loisir. Chapitre 2 : Le deuxième chapitre s’appelle : L’utilisation du temps chez les jeunes français et chez les jeunes vietnamiens : Similitudes et différences. L’analyse les questions et la comparaison les résultats sont les parties principales de ce chapitre. À travers une enquête qui concerne sur les habitudes d’utiliser le temps, j’ai fait la synthèse des réponses et puis, j’ai essayé de trouver la réponse pour les questions au-dessus.
URI: http://hdl.handle.net/ULIS_123456789/314
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